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♀️​ Cercle de femmes : un voyage sacré, entre lignées, émotions et libérations

  • Photo du rédacteur: Jessica JULIOT
    Jessica JULIOT
  • 19 juin
  • 5 min de lecture
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J'ai vécu une expérience qui m'a remué, sans que je sache vraiment mettre de mots dessus. Ce n'est pas mon corps que j'ai laissé à nu ce soir-là...

Mais mon coeur, mon histoire, ma lignée.

Avant d'entrer pleinement dans le récit, je tiens à m'excuser pour la longueur inhabituelle de cet article. Mais il était important pour moi de poser chaque mot avec justesse, d'honorer chaque étape, chaque émotion, chaque transmission vécue ce soir-là. Ce que j'ai traversé mérite d'être raconté en détail, non pas pour l'expliquer, mais pour en préserver l'essence. Merci de prendre le temps de le lire jusqu'au bout, si le coeur vous y appelle.


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💫 Un gardien d’espace

Nous étions sept femmes réunies autour d’un homme : Alexandre.

Il a ouvert l’espace avec une présence douce, presque silencieuse, comme s’il n’était que le gardien d’une porte invisible.

Il nous a invitées à fermer les yeux… à revenir à notre souffle… à nous ancrer.

Une courte méditation, mais si puissante. Tout s’est apaisé en moi, comme si le tumulte s’était arrêté juste le temps d’entrer dans un autre monde.


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​🗿 L'entrée dans l'espace sacré

Alexandre a prononcé les premiers mots et quelque chose s’est ouvert en moi. Une sensation subtile, mais profonde… Une énergie douce, enveloppante, presque maternelle. Et pourtant, elle ne m’était pas inconnue. Comme une mémoire ancienne qui revenait, familière, mais lointaine.

Je n’avais pas prévu de pleurer. Mais les larmes sont venues — silencieuses, chaudes, imprévisibles. Et très vite, j’ai compris : ces larmes n’étaient pas entièrement les miennes. Elles portaient un poids ancien, un chagrin transmis, peut-être même oublié. Elles venaient de plus loin que moi.

Elles étaient les clés.

Les clés qui m’ont permis de franchir un seuil invisible, d’entrer pleinement dans le cercle, dans l’espace du vrai, de l’authentique, du sacré.


💬​ La parole vénérable

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Puis, en cercle, nous nous sommes

assises. Un cercle de parole s’est ouvert, sacré, délicat. Chacune notre tour, nous avons été invitées à aller à la rencontre de notre lignée féminine. Cela a commencé par la petite fille en nous – fragile, vive, parfois blessée. Ensuite la femme que nous sommes aujourd’hui, dans sa force comme dans ses failles. Et puis, nous avons fait appel à celles qui nous ont précédées : nos mères et nos grand-mères


🗣️​ Les mémoires dans nos voix

Il y avait quelque chose de profondément mystérieux dans ce moment. Comme si à travers nos mots, des portes s’ouvraient vers d’autres temps. Chaque femme parlait, et c’était comme si une mémoire collective s’éveillait. Ce n’était pas que des récits : c’étaient des transmissions, des échos, des miroirs. Certaines blessures se ressemblaient, certains silences se répondaient. Nous portions en nous des histoires qui ne nous appartenaient pas tout à fait, mais qui nous habitaient malgré tout.


🧱 Laisser tomber les murs

Comprendre cela m’a bouleversée. Moi qui suis si pudique habituellement, je me suis sentie curieusement libre de déposer ce qui vibrait en moi. Mes émotions étaient là, intenses, vraies, brutes. Il y avait une beauté dans cette vulnérabilité partagée, une sororité instinctive qui ne demandait rien, si ce n’est d’être là, ensemble, sans masque.


​🫂​ Du silence à la transmission intérieure

À mesure que les mots se déposaient dans le cercle, j’ai retrouvé la petite fille que j’ai été : solitaire, rêveuse, espiègle. Puis la femme que je suis aujourd’hui, exigeante envers elle-même, parfois dure sans le vouloir. Je l’ai vue avec plus de douceur, et j’ai reconnu celle qu’elle devient.

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Ma mère est alors apparue dans mon cœur, accompagnée de mes jugements silencieux. J’ai compris, ce soir-là, que ses choix venaient de sa peur… mais aussi de son amour. Cette révélation m’a apaisée.

Puis, le visage de ma grand-mère — la seule que j’ai connue et reconnue — s’est imposé à moi avec clarté. Elle m’a transmis, sans mots, des valeurs solides : la patience, la dignité, le respect.


De ce cheminement est né le pardon. Lent, mais vrai. Et au fond de lui, un amour inconditionnel pour toutes ces femmes qui vivent en moi, et que j’apprends enfin à aimer.


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🪘 Le soin du cœur et du tambour

Alexandre a guidé ce voyage avec une grande justesse, sans jamais prendre la parole de trop, mais en tenant l’espace avec fermeté et bienveillance.

Le soin final fut un moment suspendu. Il a pris son tambour et s’est mis à chanter. Un chant amérindien, ancien, mais que mon âme semblait reconnaître. Chaque battement du tambour me ramenait à mon cœur, à ma lignée, à la Terre. J’ai senti comme un souffle chaud m’envelopper, une libération douce, mais puissante.

Quelque chose s’est défait ce soir-là… un nœud, un poids invisible.



🫶 La force du cercle

La cérémonie s’est refermée avec un sentiment de légèreté et de gratitude. Un regard échangé. Une larme. Un sourire. Et ce lien intangible entre nous toutes, tissé dans l’invisible.


Je ressens aujourd’hui une profonde gratitude.

Pour Alexandre, pour sa guidance empreinte de sagesse.

Pour ces six autres femmes, mes sœurs d’un soir, qui m’ont permis de me reconnaître dans leurs histoires. Et pour toutes celles de ma lignée, connues ou oubliées, qui ont marché avant moi.


Je ne suis plus tout à fait la même depuis ce cercle.

Quelque chose s’est aligné. Quelque chose s’est réparé.


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💞 Le signe sur la peau, le lien avec l’invisible

Depuis ce cercle, un besoin profond s’est imposé : marquer sur ma peau un lien invisible, mais puissant. J’ai choisi de me faire tatouer le Enata, symbole de l’être humain dans la culture polynésienne. Pour moi, il représente ma grand-mère, disparue depuis plus de trente ans, mais dont la présence ne m’a jamais quittée.


Je commence à l’entendre, timidement, comme un murmure. Une clairaudience naissante, subtile, mais indéniable. Ce tatouage est un acte d'amour, un hommage, une ancre, une manière de dire : je te sens, je t’écoute, je t’honore.


💯​ Une présence à recommander

Si cette expérience résonne en vous, si vous ressentez l’appel de votre lignée, de votre féminin profond ou simplement le besoin de vous déposer dans un espace sacré, je ne peux que vous recommander Alexandre.


Avec une présence juste, un respect profond du féminin et une grande sensibilité, il sait ouvrir des espaces où l’âme peut enfin respirer.

Il ne guide pas : il accompagne. Il n’impose rien : il propose.

Et c’est dans cette subtilité que réside toute la beauté de son approche.


Merci à Alexandre, du fond du cœur, pour avoir tenu l’espace avec tant de sagesse. Merci pour le chant, le tambour, et pour cette médecine invisible qui circule entre les mots.

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Au-delà des cercles de femmes, Alexandre propose également des cercles d’hommes, ainsi que des accompagnements subtils comme l’harmonisation du prénom, une expérience que j’ai hâte de découvrir personnellement.


Il anime régulièrement ses ateliers chez Kiaelle à Bouc-Bel-Air, un lieu lumineux que je vous invite aussi à explorer.


✨ Découvrez toutes ses prestations sur son site :

📱​ Pour le suivre et rester informé(e) de ses événements :


En conclusion :

Une dernier mot... AHO 🙏​

1 Comment

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Christine
Jun 19
Rated 5 out of 5 stars.

Ayant eu la chance de participer à ce cercle animé par Alexandre je ne peux que vous recommander d’y aller , le récit de Jessica est à la hauteur de l’expérience vécue, on revient plus alignée et libérée des chaînes qui nous empechaient encore d’avancer .. même si cela passe par quelques nuits agitées nécessaires pour un réalignement juste et équilibré.

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Chowa Kenko

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